miércoles, 25 de mayo de 2011

La population au Mexique n´est pas bien nourris!

Au Mexique, nous avons grandes problèmes avec l´alimentation de la population. Il y a une grande partie qui est pauvre, ils souffrant de malnutrition et ont tendance à l'obésité. Des chiffres du Conseil National d'Évaluation de la Politique de Développement Social (Coneval) détaillent qu'en 2008 près de 23 millions de Mexicains ils ont expérimenté une "insécurité alimentaire sévère et modérée" et 25.8 million, une "insécurité alimentaire légère".

De tout la population des pauvres, 11.2 millions de personnes n'ont pas eu la possibilité d´avoir des aliments (de 864 pesos mensuels) avec laquelle Coneval trace la ligne de pauvreté extrême.

Le conseil admet que les Mexicains qui ont la possibilité d´acquérir des aliments nécessaires, ont le risque d'avoir des problèmes d'obésité. Et c'est que dans les 20 dernières années le patron de consommation a changé aux aliments avec le plus grand contenu calorique, dont le prix a diminué dans ce temps, en permettant à plus de gens de l'acquérir.

Le nutritionniste Rebeca Rosal a commenté que la population au Mexique consomme plus de produits avec un haute contenu en calories par sa disponibilité et parce que "nous avons la culture de manger tout avec pain et tortilla et d'accompagner la nourriture presque toujours d'un rafraîchissement. D'avant les rafraîchissements étaient d'un litre et maintenant ils sont de trois litres".

Elle a expliqué qu'une personne peut souffrir de malnutrition s'il ne consomme pas les nutriments suffisants, bien que "une personne peut être obèse et cela ne veuille pas dire qu'elle soit bien nourrie".

Comme conclusion je veux dire et rappeler que maintenant, Mexique est le pays avec le plus haute index d´obésité dans le monde, mais sommes un pays très mal nourris. Il est une situation où tous devons faire attention parce qu´il est une problème très grande et très importante pour toute la population mexicaine.

Il y a beaucoup de causes, les mauvais habitudes alimentaires, la manque d´argent ou de temps, mais nous devons faire un effort individuel pour être personnes et un pays bien nourris. C´est pour nôtre santé et notre qualité de vie.

jueves, 5 de mayo de 2011

Révoltes dans le monde arabe : la journée de jeudi, pays par pays

Le groupe de contact sur la Libye, réuni jeudi 5 mai à Rome, a décidé de créer un "fonds spécial" afin d'aider les rebelles, pour lesquels les Etats-Unis ont déjà décidé de puiser dans les 30 milliards de dollars (20,20 milliards d'euros environ) d'avoirs gelés du régime de Mouammar Kadhafi. Hillary Clinton a précisé que les Etats-Unis allaient adopter une loi permettant de puiser dans ces avoirs. Le Qatar et le Koweït ont déjà annoncé qu'ils contribueraient à ce fonds avec des centaines de millions de dollars.

Le ministre des affaires étrangères français, Alain Juppé, présent à Rome, a jugé que le mécanisme de financement de la rébellion serait opérationnel dans les prochaines semaines, mais il a souligné que le dégel des avoirs libyens au profit des insurgés posait des problèmes juridiques. Alain Juppé a également estimé qu'il faudrait à un moment élargir le groupe de contact à des pays comme la Russie.

Par ailleurs, environ 250 millions de dollars ont été recueillis jusqu'à présent pour l'aide humanitaire en Libye, a annoncé le ministre des affaires étrangères italien, Franco Frattini, à l'issue de la réunion. La prochaine réunion du groupe de contact sur la Libye se tiendra aux Emirats arabes unis, a-t-il annoncé, sans en préciser la date.

Sur le volet militaire, le groupe de contact n'a pas de projets visant à armer les rebelles, a confirmé le chef de la diplomatie britannique, William Hague, qui a plaidé en faveur d'une intensification des opérations militaires en Libye. Un cessez-le-feu en Libye pourrait être obtenu "d'ici quelques semaines", a pour sa part affirmé Franco Frattini.

Les rebelles libyens ont affirmé que le Danemark, l'Espagne, les Pays-Bas et le Canada avaient reconnu leur organe politique, le Conseil national de transition (CNT), mais les trois premiers ont démenti toute démarche officielle et le Canada n'a pas confirmé. "J'espère que de plus en plus de partenaires envisageront d'établir des relations bilatérales avec le CNT", a indiqué Franco Frattini. Hillary Clinton, a, pour sa part, appelé ses partenaires à "accroître l'isolement" de Mouammar Kadhafi, en refusant ses émissaires et en aidant les rebelles à établir des représentations dans le monde.